Ganesh, Gaya, Epona – Origine des noms
Mon ami blogueur Justin Busch m’a demandé si Epona avait un rapport avec Zelda. J’ai une idée assez ancienne d’un jeu “Zelda” mais en réalité, ça fait plus de 30 ans que je n’ai pas approché une console et l’actualité de ce coté là n’a aucun rapport avec le nom de ma cavalerie. Cependant, ces noms ne sont pas choisis au hasard et encore moins suivant “la lettre de l’année de naissance”. Je vous raconte tout dans cet article.
Ganesh (janvier 2015)
Si je commence pas Doudou, c’est tout simplement parce qu’il est l’ainé et pas du tout parce que c’est l’amour de ma vie – je m’en sors assez bien…
Ganesh et moi, une belle histoire qui a commencé en aout 2016, un été très sec et particulièrement chaud. J’étais à cette époque pas si lointaine, une randonneuse de l’extrême : je partais par n’importe quel temps sans avoir un équipement adapté. J’avais une forme physique exceptionnelle, un moral d’acier et j’exerçais encore sous mes combles mon métier de styliste en SAS (forme juridique). Je ne réalisais que du sur-mesure puisque j’étais tout à fait capable d’organiser mes RVD avec Skype jusqu’aux États-Unis. Les américains adoraient mes costumes (hommes).
Bref, mes combles ne sont pas isolés et je travaillais tôt le matin pour arrêter à 14h. Je partais ensuite faire des pas pour les challenges avec ma communauté Fitbit. Dans les hauteurs, j’ai rencontré environ quinze chevaux à l’état sauvage et j’y suis ensuite retournée chaque jour pour les regarder évoluer. Le problème du cheval en France, c’est qu’il n’a pas le droit de rester sauvage et que le troupeau squattait des prés à foin. Ces chevaux n’avaient pas de nom… quoi que surnommés par les paysans du secteur : il y avait “pti con”, “cul blanc”, “la foudre”, “l’étoile” etc… Et puis il y avait ce cheval que j’aimais bien.